Mort de Mylène Demongeot : un ultime hommage organisé dans la ville où elle vivait ces dernières années

Les obsèques de la comédienne Mylène Demongeot ont eu lieu le 10 décembre 2022, au Père-Lachaise, à Paris. Désormais, la ville où l’actrice a vécu durant sa dernière décennie souhaite lui rendre hommage…

Mylène Demongeot nous a quittés soudainement à 87 ans, alors que son cancer du péritoine avait rechuté, a annoncé son ami Henry-Jean Servat, ce 1er décembre. Pour célébrer la mémoire de la défunte actrice, la ville de Châtelain, dans le sud de la Mayenne, où Mylène Demongeot s’était installée en 2011, doit organiser un hommage dans la salle des fêtes de la commune, ce 17 décembre. Une centaine de personnes sont attendues. “C’était dans les volontés de Mylène Demongeot qu’un temps de recueillement ait lieu à Châtelain” a expliqué à Ouest France la maire de la ville, Rachel Français. Il faut dire que la comédienne était très impliquée dans la vie de la commune. “Elle venait au repas des aînés, elle est intervenue au niveau de l’école également“, a-t-elle précisé.

Mylène Demongeot avait “imploré” les médecins avant sa mort

Si l’on en croit Ici Paris, l’actrice était “de plus en plus faible, les semaines qui ont précédé sa mort. L’interprète de Laurette Pic dans la saga Camping avait même imploré” les médecins d’arrêter le traitement. Le “cancer à récidive du péritoine” dont souffrait Mylène Demongeot est “l’un des plus compliqués touchant l’appareil digestif“, lit-on. Auparavant, elle avait passé plusieurs mois en Afrique et avait travaillé à un nouveau film

Mylène Demongeot : un dernier film imaginé… au Sénégal

Cette année, la comédienne avait assisté au mariage de son ami, Jean-François Davy “lequel prenait pour épouse Iryna Kostenko, jeune Ukrainienne, directrice d’hôtel au Sénégal“, lit-on auprès de Actu Normandie. Dans la même période, Mylène Demongeot devait une nouvelle fois subir plusieurs traitements médicaux. “Quand je suis sortie de cette épreuve, Jean-François Davy m’a dit : ‘Viens passer ta convalescence chez moi, dans notre hôtel au Sénégal. Ce fut merveilleux et j’ai été si bien accueillie que j’y suis restée six mois“, disait-elle alors.

Sur place, la star avait ainsi mis son temps à profit et avait “travaillé avec son hôte sur le scénario d’un film qui devait s’intituler Un moment d’éternité, une histoire d’amour qui devait être tournée cette année.” Un film qui ne verra jamais le jour malheureusement… “Je vous promets, à la sortie du nouveau film, je viendrai avec Jean-François le présenter“, avait clamé la défunte actrice.

Son handicap

Etant jeune, Mylène Demongeot louchait depuis sa naissance. Alors, pour y remédier, ses parents ont décidé de la faire opérer rapidement. L’actrice garde de son enfance un “souvenir épouvantable“, avait-elle confié en 2015 à Gala. “Moi, j’étais maigre. Avec la guerre, nous n’avions rien à bouffer. Et je louchais. pas comme Joe Dassin, plutôt comme dans un film comique“, avait-elle détaillé. Si dans sa jeunesse Mylène Demongeot a été une icone de charme et de beauté, souvent comparée à Brigitte Bardot, dans son enfance, elle était plutôt traitée comme un vilain petit canard. “J’entendais les gens dire : ‘Comment ses parents si beaux ont-ils pu engendrer une horreur pareille ?’ À l’école, les enfants me surnommaient ‘Oh, la louche !’ alors je me suis réfugiée dans la musique et le cinéma“, avait-elle raconté. Une revanche sur la vie ,

Mylène Demongeot : la date de ses obsèques

Henry-Jean Servat a également dévoilé la date des obsèques de la défunte actrice, sur Twitter. La cérémonie doit avoir lieu samedi 10 décembre à 10 heures, au crématorium du Père-Lachaise. Ses cendres seront dispersées “dans les endroits qu’elle a aimés et où elle a vécu”, a expliqué l’ami de la défunte. “Mylène était croyante, gardez la dans vos prières, votre cœur, vos souvenirs“, a-t-il conclu.

Mylène Demongeot : une rue à son nom ?

Henry-Jean Servat souhaitait rendre hommage à l’actrice, même avant son décès. L’écrivain, ami depuis plus de quarante ans avec la comédienne, lui avait proposé de célébrer sa carrière en septembre dernier, à la cinémathèque de Nice, où Mylène Demongeot a vu le jour, selon Nice-Matin. “Nous avions prévu, outre la projection de deux de ses films, dont Une manche et la belle, d’Henri Verneuil, qu’elle avait tourné à la Victorine, de faire un zoom avec elle“, a-t-il détaillé au quotidien local. Malheureusement, cet évènement n’a pas pu avoir eu lieu. La raison ? “Elle a appris à ce moment-là qu’elle allait être hospitalisée et a dû renoncer à participer à l’événement“.

Mais Henry-Jean Servat a une autre idée en tête pour rendre un digne hommage à Mylène Demongeot : “Je voudrais demander au maire de Nice que l’on baptise une rue de la ville au nom de Mylène Demongeot, puisqu’elle y est née, et que l’une des salles de la nouvelle cinémathèque soit baptisée de la même façon en son honneur“. Christian Estrosi n’a pas encore réagi à cette proposition.

Bien qu’elle ait vu le jour à Nissa la Bella, la défunte actrice n’a jamais vraiment connu la ville, à son grand regret. “Nice (…) était pour elle un paradis perdu, dont elle n’avait pas épuisé les beautés et où elle aurait aimé revenir, acquérir un pied-à-terre”, a regretté Henry-Jean Servat.

Les Macron rendent hommage à Mylène Demongeot

L’Elysée a rendu un hommage sobre à la comédienne de renom. “Le Président de la République et son épouse saluent le parcours d’une grande figure du septième art français, qui sut briller dans tous ses genres pour émouvoir tous les Français. Ils adressent à sa famille, ses proches et tous ses admirateurs leurs condoléances attristées“, lit-on dans un communiqué du palais présidentiel.

Kev Adams, “bouleversé” par la mort de Mylène Demongeot

Depuis l’annonce de sa mort, les hommages des stars qu’elle a croisées se font nombreux. Parmi celles-ci, Kev Adams est apparu particulièrement ému, sur le plateau de C à Vous, ce 1er décembre. L’acteur de 31 ans avait joué aux cotés de Mylène Demongeot pour le film qu’il a co-produit, Maison de Retraite, sorti en 2022. C’est bouleversant… Ça me fend le cœur. C’est une femme avec qui j’ai créé un lien sur le tournage. Elle m’envoyait des films à regarder. J’ai pris ça comme un coup sur la tête. Apprendre ça aujourd’hui, ça m’a cassé en deux“, a-t-il déclaré dans C à Vous.

Franck Dubosc, Paul Belmondo… Les stars célèbrent sa mémoire

Quant à Franck Dubosc, avec qui la comédienne avait tourné la saga Camping, il lui a rendu un sobre hommage en publiant une photo sur laquelle il apparaît avec l’actrice, sur les réseaux sociaux. Et de légender : “Au revoir Mylène…. On en aura pris des apéros !“. Le réalisateur des films CampingFabien Onteniente, a lui posté une belle photo de Mylène Demongeot, qu’il a accompagnée du texte : “Madame Pic nous a quitté ! Partie rejoindre Jacky là-haut dans sa caravane. Au revoir Laurette“. Une référence à Claude Brasseur, qui jouait le rôle de Jacky Pic et est décédé en décembre 2020.

Paul Belmondo, fils de feu Jean-Paul Belmondo, a également rendu un sobre hommage à Mylène Demongeot, sur Instagram. Le mari de Luana Belmondo a publié une photo de l’actrice au côté de Jean-Paul Belmondo, avec qui elle avait joué dans Sois belle et tais-toi en 1958 et Tendre voyou en 1965. “Au revoir Mylène Demongeot“, a-t-il simplement légendé.

Brigitte Bardot “sonnée” par la mort de Mylène Demongeot : tendre hommage

Tout au long de sa vie et de sa carrière, Mylène Demongeot a été comparée à Brigitte Bardot, tant pour son physique de poupée blonde que pour ses rôles ou son combat pour la défense des animaux. BB a rendu à son amie un digne hommage en partageant sa peine auprès de Var-Matin : “Je suis sonnée… j’ai beaucoup de peine… Je l’aimais. Il y a deux-trois jours encore, elle nous envoyait à Bernard et moi des petits mots par téléphone. Nous échangions beaucoup. C’était une grande protectrice des animaux“.

On ne s’est jamais vraiment perdues de vue, gardant contact au gré des films ou des amoureux qu’on avait (rire). Nous avions une complicité qui ne s’est jamais démentie. Nous étions jumelles à un an et un jour près. Elle est née un 29 septembre et moi un 28“, a-t-elle poursuivi, avant de conclure : “Elle était une beauté slave! Elle a été courageuse jusqu’au bout et s’est battue comme une lionne contre son cancer. Son décès m’arrache le cœur“.

L’actrice de 88 ans a également tenu à dévoiler le dernier message que lui a envoyé Mylène Demongeot, peu avant de mourir : “Bri je t’aime très fort! Vraiment tu es une femme exceptionnelle même si les femmes exceptionnelles peuvent être difficiles à vivre… C’est quand même mieux qu’un plat de nouilles, non? Bises Mylène“.

Mylène Demongeot a-t-elle joué dans “Angélique” ? Ses plus grands rôles

Avec Brigitte Bardot, l’épouse de Marc Simenon avait partagé l’affiche de plusieurs films, dont Futures vedettes en 1955 et Frou-frou la même année. Mais les films qui ont le plus marqué la carrière de Mylène Demongeot sont sans nul doute Les sorcières de Salem, dans lequel la comédienne donnait la réplique à Simone Signoret et Yves Montand, et Fantômas, dont elle a partagé l’affiche avec Jean Marais et Louis de Funès. En 1964, l’actrice a même failli jouer le rôle principal de Angélique, marquise des Anges, puisque le réalisateur l’avait contactée pour le lui proposer. Mais il a finalement été confié à Michèle Mercier.

Quelle est la cause de la mort de Mylène Demongeot ?

Mylène Demongeot est morte à 87 ans, a annoncé le 1er décembre son ami Henry-Jean Servat selon Midi Libre. “C’était une artiste magnifique. Elle avait passé sa jeunesse à Montpellier, elle s’était mariée à l’église de Palavas-les-Flots, elle adorait la région. Elle était engagée dans la protection des animaux. C’était une amie depuis plus de 40 ans. Elle est décédée à la suite d’une longue maladie“, a-t-il confié. Dans France Dimanche, en octobre dernier, l’actrice avait confié que son cancer du péritoine avait rechuté.

Étonnante de résilience, l’interprète d’Abigail dans Les Sorcières de Salem a enduré bien des épreuves. De la mort de son grand amour, à son combat contre le cancer, en passant par l’arnaque dont elle a été victime et sa terrible contamination au coronavirus. Malgré tout, l’actrice n’a jamais perdu le sourire. Optimiste de nature, la comédienne, qui continuait à investir les plateaux de tournage jusqu’à il n’y a pas si longtemps, préférait se remémorer les moments de joie intense qu’elle a vécus… Car ils ont tout de même été nombreux ! (Re)découvrez le parcours et les secrets de l’actrice passionnée qui vient de nous quitter…

Elle s’est faite repérer grâce à une photo

Mylène Demongeot, née d’un père français et d’une mère ukrainienne, fait ses premiers pas dans l’industrie du cinéma dans les années 50. Mais c’est un cliché d’elle, pris par son compagnon de l’époque, le photographe Henri Coste, qui la révèle aux yeux de Raymond Rouleau. Il lui donne l’un des rôles principaux pour son film Les Sorcières de Salem, aux côtés de Simone Signoret et Yves Montand. Voilà un démarrage sur les chapeaux de roues!

Harcelée dans son enfance

Mylène Demongeot connaît la gloire et le succès au cinéma. Admirée de tous, l’actrice peut prendre sa revanche sur la vie et particulièrement sur ses camarades de classe qui l’ont traînée dans la boue, étant enfant. “Comme je louchais étant petite, les enfants me terrifiaient, j’ai été très violemment harcelée“, nous avait-elle confié.

Mylène Demongeot jeune : ce que son premier amour lui a fait découvrir

Dans les années 50, l’actrice tombe amoureuse du photographe Henri Coste, qui lui fait découvrir un autre aspect de sa féminité. “Si je suis très sophistiquée quelques fois, c’est un peu grâce à lui. J’ai appris à poser avec lui“, avait-elle confié dans une interview à François Chalais en 1958. Mais la jeune Mylène Demongeot de l’époque aurait volontiers troqué ses robes et talons pour un confortable pull-over. “Moi, j’aime bien, mais lui n’aime pas ça. Il aime mieux quand je suis élégante”, avait-elle ajouté.

Ce que Mylène Demongeot pense de la saga Camping

Mylène Demongeot est connue des plus jeunes générations principalement pour son rôle dans la saga Camping, réalisée par Fabien Onteniente. Mais la comédienne avait un message à adresser au jeune public. “Je leur dis que je n’ai pas fait que ça, quand même. Les Sorcières de Salem (1957), c’est intéressant, aussi… Mais ils n’en ont rien à faire ! Cela dit, Camping, c’était sympathique. Surtout le premier“, avait-elle déclaré dans Télé 7 Jours.

Elle a connu l’amour fou, le seul et l’unique

Lorsque son ami, le photographe Serge Beauvarlet, lui parle pour la première fois d’un certain Marc Simenon, fils de l’écrivain Georges Simenon, Mylène Demongeot l’envoie sur les roses. “C’est un fils à papa à la con“, lâche-t-elle, persuadée de ne partager aucun point commun avec lui. Plusieurs fois, ils se croisent… et s’ignorent. Il faut attendre quelques années, en 1966, pour que les tourtereaux aient le déclic. “Ça deviendra tout de suite obsessionnel (…) Et puis, je dois confesser que nos corps s’accordaient parfaitement. C’est un peu ça, la magie de l’amour“, a-t-elle raconté au Figaro.

Mylène Demongeot n’a d’ailleurs jamais pu retrouver l’amour fou, après la mort de son cher et tendre, survenue en 1999, après une chute dans les escaliers. “Je lui suis restée fidèle toute ma vie. J’étais tellement bien avec lui. Je l’ai connu quand j’avais 27 ans, je suis restée avec lui 35 ans. Mais je n’en ai pas pris un autre. De toute façon, un homme ça m’a suffit“, a-t-elle confié au Journal Des Femmes.

Son grand amour était alcoolique

Malheureusement, Marc Simenon avait de nombreuses failles, la plus terrible étant son penchant pour la bouteille. “Il m’en a fait voir de toutes les couleurs, mais j’ai passé des années merveilleuses avec lui ! À cause de sa fragilité et de son caractère fantasque, il est tombé dans l’alcool“, nous a raconté l’interprète d’Abigail dans Les Sorcières de Salem.

Son arche de Noé

Mylène Demongeot a vécu dans une résidence qui avait des allures de véritable zoo aux côtés de Marc Simenon. Dans son ouvrage L’Amour Fou, paru en 2019, aux éditions Michel Lafon, l’actrice raconte que les tourtereaux ont possédé un serpent, des mangoustes, un lion, une chouette, un renard, des chiens, des chats… Pas de quoi s’ennuyer!

Elle était une féministe avant l’heure

Mylène Demongeot avait beau être folle amoureuse de Marc Simenon, elle ne s’est jamais laissée mener à la baguette. “La première fois que Marc m’a demandé de repasser sa chemise, j’ai pris le fer à repasser et je l’ai laissé brûler sur sa chemise en lui disant : ‘Ne me demande pas ce genre de choses‘ (rires). Je veux bien que l’on partage les tâches, mais il est hors de question que je fasse tout“, nous a-t-elle confié.

Et pour cause, l’actrice a été élevée par une mère qui a pris son destin en main : “Ma mère a lutté toute sa vie pour l’émancipation des femmes. Elle a vu sa propre mère, une Ukrainienne de ‘petites conditions’ faire le ménage et souffrir de ses avortements à répétitions. Elle s’est dit qu’elle ne serait pas comme ça. Elle a quitté l’Ukraine et est partie à Shanghaï, a essayé de devenir indépendante“.

Elle a combattu un cancer

Mylène Demongeot a lutté contre un cancer en secret, en 2019. C’est uniquement une fois guérie que l’actrice a révélé sur Facebook qu’elle avait été malade. Elle avait même publié une photo de des cheveux courts.

Pourquoi elle n’a pas eu d’enfants

Mylène Demongeot n’a jamais eu d’enfants. Un choix qu’elle ne regrette pas. “J’ai failli avoir des enfants avec mon premier mari (Henri Coste, NDLR), mais comme il voulait que je fasse carrière, il m’a fait avorter deux fois. Si j’étais tombée enceinte avec Marc, peut-être que j’aurais aimé être mère… Mais cela ne s’est pas passé ainsi. Et puis, je me disais que si un gosse se mettait entre nous, cela m’énerverait“, nous a-t-elle déclaré.

Fan… du professeur Raoult

La comédienne a, elle aussi, été contaminée au coronavirus en avril 2020. À 84 ans et en rémission d’un cancer, Mylène Demongeot était plutôt mal lotie pour combattre le virus. “Les médecins ne me voyaient pas passer la semaine. J’étais quelque part entre la vie et la mort“, a-t-elle confié dans Ouest France.

Mais l’actrice avait guéri grâce à un traitement à base d’hydroxychloroquine. Autant dire qu’elle était pleine de gratitude pour le professeur Raoult… “J’ai failli mourir mais je m’en suis sortie magnifiquement grâce au traitement du professeur. Je suis prête à le crier partout car je vois qu’on l’enquiquine comme c’est pas permis : mais moi, je lui dois la vie, et quelqu’un qui vous sauve la vie, on lui dit merci, alors merci professeur Raoult“, a-t-elle lâché au micro de RTL.

Mylène Demongeot n’était pas vaccinée

L’actrice n’était d’ailleurs pas vaccinée contre le coronavirus. “Comme je suis allergique à tout un tas de choses, je ne peux pas me faire vacciner. Du coup, je suis un peu en guerre avec tout le monde“, avait-elle expliqué à France Dimanche, en janvier 2022.

Elle était ruinée

Mylène Demongeot a été la malheureuse victime d’un escroc. En 2012, elle a confié deux millions d’euros, toutes ses économies, à un conseiller en patrimoine, mais celui-ci prêtait cette somme à d’autres, selon le modèle de la pyramide de Ponzi. Le compte de Mylène Demongeot a servi à alimenter certains de ses clients, potentiellement Isabelle Adjani, Magloire ou encore Samy Naceri, qui ignoraient tout de l’escroquerie.

Bien que le filou ait été arrêté par l’organisme anti-blanchiment de Bercy, Mylène Demongeot n’a toujours pas revu la couleur de son argent. “Depuis cette affaire, j’ai appris à me serrer la ceinture, je vis désormais à Paris dans un appartement de 35 m². Je ne pensais pas qu’à mon âge, je devrais me priver, or je compte désormais mes sous“, a-t-elle confié à Ici Paris.

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