Animateur populaire, déconneur légendaire, notre invité de la semaine a marqué l’histoire de la télé française ! Aujourd’hui, c’est dans un livre qu’il se dévoile comme jamais auparavant. Vincent Lagaf’ est l’invité de Déborah Grunwald.
Dans cet épisode de l’émission “Dans le rétro” :
“J’avais envie de crier au métier : ‘Arrêtez de me prendre pour un baltringue’.”
“J’allais chercher chez le public ce que je n’avais pas eu chez moi.”
Animateur populaire, déconneur légendaire, notre invité de la semaine a marqué l’histoire de la télé française ! Aujourd’hui, c’est dans un livre qu’il se dévoile comme jamais auparavant. Vincent Lagaf’ est l’invité de Déborah Grunwald.
Dans cet épisode de l’émission “Dans le rétro” :
“J’avais envie de crier au métier : ‘Arrêtez de me prendre pour un baltringue’.”
“J’allais chercher chez le public ce que je n’avais pas eu chez moi.”
“A partir du moment où tu bosses avec un humain, tu bosses avec son esprit, son mental, ses galères, ses joies et ses peines. Donc tu vas peut-être ramasser ce qu’il a pris dans la gueule il y a deux jours.”
Après la disparition d’un ami proche, Vincent Lagaf pense au suicide : “En 15 secondes, ta vie change à nouveau. Un moment tu te dis, ‘si c’est ma vie, à quoi bon ? Ouvre le gaz‘. On ne m’a pas laissé le temps de faire quoi que ce soit.”
“Il y a trop de cons maintenant, je ne pourrais plus refaire La Zoubida. […] On ne peut plus rire de rien.”
“La mort ne me fais pas peur mais j’ai toujours besoin de la frôler et de la provoquer.”
“Tant qu’il y aura un humain sur la planète, la planète sera en danger.”
Le coup de promo
C’est un des livres choc de l’année, “Je m’appelais Franck” aux éditions XO. Inattendu et puissant, on y découvre l’homme derrière l’amuseur public. Avec ses failles, ses faiblesses, ses joies, ses peines et surtout une histoire que l’on ne pouvait pas soupçonné.