Après avoir animé les émissions politiques durant plusieurs primes, Anne-Sophie Lapix voit ses scores d’audience s’effondrer. L’accueil que lui réservent les Français lui permet de signer un triste record d’audience.
Anne-Sophie Lapix présentait le JT de 20 h de France 2 ce 24 mai dernier pour évoquer les sujets du jour dans en direct sur le plateau de la télévision Publique. Malheureusement pour la journaliste, le public n’était pas au rendez-vous et a fait chuter l’animatrice dans les tableaux d’audience.
Des sujets forts dans ce JT de 20h
Ce soir-là, Jo-Wilfried Tsonga disait adieu au monde du Tennis sur un célèbre cours de Roland Garros, en larmes. Un reportage dédié lui a d’ailleurs été consacré pour cette occasion, par la rédaction de France 2. Face à Casper Ruud, le sportif s’était effondré en larmes suite à sa défaite.
Par ailleurs, le journal de France 2 sur 20h s’ouvrait ce soir-là entre une affaire de viol sur mineur du dirigeant de « Assu 2000 ». Ce scandale qui impliquait le fondateur de Jacques Bouthier était accusé de viol sur mineurs et supposition de l’esclavage sexuel.
Et malgré des sujets relativement forts ce jour-là, Anne-Sophie Lapix n’a pas attiré tant de téléspectateurs, voire a fait chuter la moyenne de ses audiences précédentes. L’animatrice signait ainsi un triste record a fait chuter ses chiffres habituels.
Une journaliste qui ne fait pas toujours l’unanimité
La journaliste qui a débuté chez France Télévision dans l’émission C à vous est loin de plaire à tout le monde. Lors de l’allocution du président Emmanuel Macron durant la pandémie de Covid-19, les internautes s’étaient lâchés sur Anne-Sophie Lapix et notamment sur les réseaux sociaux.
Pourtant soutenue par la présidente de France Télévisions à ce même moment, Delphine Ernotte n’a pas su convaincre tous les internautes.
Les répercussions directes de cette baisse de popularité ont ainsi été en faveur d’une autre journaliste, familière du service publique… Il s’agit de Léa Salamé ! Ce n’est donc pas un hasard si la journaliste a eu le privilège d’animer le débat de la campagne présidentielle.