J’ai déjà 57 ans, j’ai un fils, Antoine, qui vit désormais séparément de sa femme et de son fils. Au début, j’étais contrariée que ma belle-fille ne me donne pas de petit-enfant. Mais des années plus tard, lorsque cela s’est produit, j’ai soudain réalisé que mon petit-fils Armand était extrêmement mal élevé, et j’attribue ce trait aux actions de sa mère.
Le comportement d’Armand, accompagné d’interruptions, de crises de colère et de demandes d’attention, est devenu insupportable, ce qui a finalement conduit au départ d’Antoine de la famille.
Pendant six ans, ma belle-fille Inès est restée à la maison avec Armand, se concentrant exclusivement sur son éducation, mais négligeant la discipline. Malgré la réussite scolaire de mon petit-fils, elle n’a pas osé l’envoyer à l’école, préférant prolonger son enfance le plus longtemps possible.
La goutte d’eau qui a fait déborder le vase pour Antoine a été l’incident au cours duquel Armand a renversé du thé sur son ordinateur portable coûteux, ce qui a conduit à une sérieuse querelle entre Inès et mon fils.
Cet incident a incité Antoine à partir immédiatement, à demander le divorce et à cesser de communiquer avec Inès et son fils. Lorsqu’Inès a été confrontée à des difficultés financières, elle s’est tournée vers moi, mais j’ai senti que je ne pourrais pas l’aider. Je lui ai reproché la situation difficile de la famille.
Antoine a décidé de payer uniquement une pension alimentaire pour l’enfant, ne voulant pas supporter Inès. Toute cette situation a mis en évidence les conséquences d’une mauvaise parentalité et les dommages irréversibles qu’elle peut causer aux relations familiales.