J’ai chassé mon mari de la maison et il est allé chez sa mère. Et après un certain temps, ma belle-mère m’a appelé et m’a proposé l’intégralité de sa pension pour reprendre son fils.

Il y a 2 ans, je me suis mariée avec Olivier. Vraiment bel homme, il n’a pas hésité aux tâches ménagères comme cuisiner ou faire la vaisselle. Tout s’est bien passé jusqu’à l’été dernier, lorsqu’Olivier a été licencié. Son entreprise était au bord de la faillite et il n’était pas facile de trouver un autre emploi.

Plus tard, Olivier a finalement abandonné sa recherche d’emploi. Il a trouvé des raisons de ne se contenter d’aucun emploi, se plaignant de la distance, des horaires inappropriés et du faible salaire.

Mon salaire couvrait presque nos frais de subsistance et de nourriture, mais avec l’arrivée de l’automne et le besoin de vêtements chauds, nos économies ont diminué. Nous avons été en partie sauvés par ma belle-mère, qui nous a fourni de la nourriture et des conserves du village.

Pendant qu’Olivier était à la maison, je m’attendais à ce qu’il m’aide à faire le ménage, mais il se plaignait de fatigue, ce qui conduisait à de fréquentes disputes sur notre mode de vie et notre situation financière. En décembre, j’en avais assez.

J’ai emballé les affaires d’Olivier et je me suis enfermée avec la clé de l’intérieur. Il est allé au village voir sa mère, pensant que je faisais un drame. Finalement, la maison était en ordre et j’ai poussé un soupir de soulagement. Après les vacances, ma belle-mère, Géraldine, a commencé à me gronder parce que j’étais celle qui avait détruit notre mariage.

Malgré mes tentatives pour clarifier la situation, elle a pris le parti d’Olivier. Une semaine plus tard, la sœur d’Olivier, Sacha, m’a appelé. Elle m’a demandé de donner une autre chance à Olivier, se plaignant de son attitude et de son refus de trouver du travail, même au village.

Il s’est avéré qu’elle et sa mère ne pouvaient pas non plus le supporter. Géraldine m’a supplié, me proposant de renoncer à sa pension pour qu’Olivier me revienne. Bien que je sympathise avec Géraldine et Olga, je refuse d’être responsable de la « rééducation » d’un homme de 30 ans. Je doute fort qu’Olivier change et je ne veux plus lui imposer un fardeau financier. Il est plus facile de l’oublier pour toujours et de sortir de ce cauchemar.

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