Notre famille a été mise à rude épreuve lorsque mon oncle est tombé malade et il est devenu évident que pour de nombreux proches, l’argent éclipsait les liens familiaux. Mon oncle, divorcé et sans enfant, possédait un appartement de rêve, provoquant une querelle familiale concernant ses soins et l’avenir de la propriété.
Les discussions ont rapidement dégénéré en disputes sur l’héritage plutôt que sur le bien-être de mon oncle. Ma tante lui a proposé de l’envoyer dans une maison de retraite pour vendre l’appartement, mais cette idée n’a pas trouvé de soutien.
Ses cousins ont proposé d’embaucher une nounou à condition que l’appartement leur soit transféré, démontrant ainsi leur intérêt pour la propriété plutôt qu’une réelle préoccupation pour mon oncle. À cette époque, ma mère, qui travaillait en Grèce, elle est revenue s’occuper de son frère, lui prodiguant des soins médicaux, à ses frais, sans rien demander en retour.
Malgré le manque d’espoir des médecins, ma mère a veillé à ce que les derniers mois de sa vie soient aussi confortables que possible. Après la mort de mon oncle, laissant son appartement à ma mère dans son testament, le vrai visage de notre famille a été révélé.
Mes tantes et mes cousins, qui n’ont en rien contribué à son décès, nous ont menacés de poursuites judiciaires, espérant obtenir une part de l’héritage qu’ils ne méritaient pas.
Ma mère envisageait de partager l’héritage, mais j’étais contre, estimant qu’ils n’en méritaient aucune part. En raison de cette situation, nous avons été déçus par les priorités de notre famille, confrontés à des menaces de poursuites de la part de ceux qui donnaient la priorité à la richesse potentielle du devoir familial.
