À la mort de notre père, j’ai décidé de retourner au village pour récupérer mon héritage. Mais après être entrée dans la cour, j’ai soudainement changé d’avis.

Je suis arrivée au village, décidant de réclamer ma part des biens de mon défunt père. Il est récemment décédé, nous laissant, mon frère et moi, héritiers égaux de la maison et du jardin. J’avais 53 ans et mon frère 48 ans, notre relation était tendue à cause de sa femme. Je me suis mariée et j’ai déménagé en ville.

Avec un mari gentil et solidaire, nous avons construit une vie avec une maison, une résidence d’été et une voiture. Notre fils a étudié en Autriche et a décidé d’y rester après ses études. J’ai aidé mes parents, mais mon frère et sa femme vivaient avec eux.

Sa femme, cependant, a fixé ses propres règles dans la maison de mes parents, exigeant même que je l’appelle à chaque fois avant ma visite. Après le décès de ma mère, j’ai pris en charge les frais funéraires, car mon frère prétendait qu’il n’avait pas d’argent.

La même chose s’est produite lorsque notre père est décédé. Puisqu’il n’y avait pas de testament, nous avions des droits égaux à la propriété. Au début, j’étais ferme, déterminée à ne pas laisser mon frère ou sa femme avare s’emparer de ma fortune.

Cependant, lorsque je suis sortie dans le chantier après une autre soudure avec eux, j’ai changé de point de vue. J’ai réalisé que la moitié de la maison n’avait pas une valeur particulière pour moi. Il n’était pas pratique de vendre ma moitié et mon frère n’avait pas les moyens de me l’acheter.

En réfléchissant à ma vie et en pensant à mes deux nièces, j’ai décidé de confier mon sort à mon frère sans aucune hésitation. Mon frère a été choqué par ma décision, pensant qu’il devrait me combattre au tribunal. Quand je suis partie, sa femme m’a remercié pour la première fois et m’a présenté ses excuses en larmes. Je crois que j’ai fait le bon choix et j’espère que cette concession améliorera nos relations à l’avenir.

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