Une séquence noire a commencé dans la vie de Jeanne. Quelque chose n’allait toujours pas. Et soudain, son mari a décidé de quitter la maison. Les enfants ont dit que papa allait quelque part.
Elle a décidé que les enfants avaient mal compris. Cependant, lorsqu’elle rentra à la maison, elle vit qu’il avait emballé ses affaires et qu’il attendait. – Eh bien, qu’est-ce que ça veut dire, Serge ? – Je m’en vais.
Je ne peux plus être avec toi. Nous parlons toujours des enfants, ou du travail, ou de ce que tu vas cuisiner. Les conversations intelligentes, intéressantes me manquent.
Jeanne regarda son mari avec surprise. Que lui est-il arrivé ? Quand est-il devenu esthète ? Puis elle réalisa que Serge allait beaucoup à la bibliothèque ces derniers temps.
Il a probablement parlé au bibliothécaire là-bas et c’est pour cela qu’il a changé ainsi. Jeanne ne voulait pas s’attarder là-dessus. Mais cela la dégoûtait.
Et c’était dommage pour les enfants. “D’accord, Serge, si tu veux, vas-y.” Mais n’oublie pas que si tu t’enfuis, tu ne pourras pas revenir en arrière. Serge a pris la valise et s’est dirigé vers la porte. À la porte, il se tourna et dit : – Ne m’en veux pas. Je viendrai souvent voir les enfants.
– Mieux vaut pas souvent. Serge est parti. Jeanne est partie, a regardé le miroir. “Oui, Jeanne, c’est pour ça qu’ils te fuient”, se dit-elle en voyant son visage fatigué. Elle attendit les enfants et les accompagna chez son amie Anna, prenant une bouteille de vin en chemin.
Lorsque les enfants se sont endormis, Jeanne et Anna se sont assises pour boire du vin, puis Jeanne a commencé à partager ses problèmes avec son amie. Le temps a passé. Les enfants avaient déjà oublié leur père. Ils n’ont plus posé de questions sur lui. La cloche sonna.
Jeanne a ouvert la porte et a vu Serge avec une valise. — Bonjour Jeanne. – Eh bien, bonjour. Qu’est-ce que tu veux ? — Jeanne, toi et les enfants vous m’avez manqué. Désolé, j’ai foiré. – Tu t’es cru où ??! Elle s’est approchée de lui, a pris la valise et l’a jetée dehors. – Jeanne, qu’est-ce que tu fais ? – Tu sais quoi ?
Ma nature n’est pas la même. Je ne supporte plus ta vieille valise. Et il ne peut pas te supporter non plus, alors sors d’ici ! Jeanne l’a poussé dehors et a fermé la porte. Elle est partie, a regardé dans le miroir et a vu une autre Jeanne. Maintenant, elle s’aimait bien.